La transition écologique : Des besoins urgents en compétences
De nombreux rapports en soulignent le potentiel de transformation écologique du numérique, certains affirmant par exemple que le numérique pourrait réduire les émissions mondiales de CO2 de 20 % d’ici 2030.
Si le numérique n’est intrinsèquement ni bon ni mauvais pour l’environnement, l’optimisation numérique des systèmes existants («smart») est souvent mise au service d’une augmentation de productivité qui entraîne la méfiance des acteurs de l’écologie ; C’est l’effet rebond.
C’est autour d’une formation éthique d’ingénieur généraliste de haut niveau, spécialiste du numérique que s’organise le parcours Environnement ou INTEGRATE (Ingénieurie numérique & transition écologique pour une Gestion responsable et une Accélération de la Transition Environnementale).
→ Découvrir la charte de construction de l'ingénieur d'un numérique responsable
Les axes de travail de la transition numérique
⇒ Réduire l’empreinte écologique directe du numérique (réparation, réemploi, recyclage etc...)
⇒ Optimiser les systèmes existants grâce aux méthodes «smart», au BIG DATA, à l’IA, aux sciences des données etc...
⇒ Encourager et soutenir l’innovation numérique en faveur de la transition écologique et de la préservation de l’environnement
⇒ Utiliser le numérique pour organiser et améliorer les politiques publiques, promouvoir et accompagner les bonnes pratiques individuelles et collectives.
Un parcours en 3 ans pour accélérer la transition environnementale
Le parcours INTEGRATE : c'est faire des choix de sujets de projets, de stage, d'unité d'enseignement pour appliquer sa formation à la thématique de la transition environnementale. Par exemple :
