IMT Starter propose une immersion dans la Silicon Valley à ses startups

Télécom SudParis

Une quinzaine de créateurs d’entreprise se sont envolés du 20 au 27 janvier 2017 pour le pays des startups : la Silicon Valley. Une immersion voulue pour mieux comprendre l’écosystème local, s’en inspirer et, pourquoi pas, projeter un développement Outre-Atlantique. A l’origine de ce voyage d’études, l’incubateur évryen IMT Starter, l’un des premiers incubateurs d’école de France.

IMT Starter est une structure d’aide à la création d’entreprises numériques, portée par la grande école Télécom SudParis, en collaboration deux autres écoles d’Evry, Télécom Ecole de Management et l’ENSIEE. Pour la 4e année consécutive, elle invitait ses porteurs de projets à se confronter à l’univers des startups au royaume de l’entrepreneuriat de la Silicon Valley. Cette année, une quinzaine de startups ont fait le voyage. Tous montent actuellement leur entreprise a divers stades d’avancement : de l’état de projet ou déjà créée, chacune possède au minimum un prototype.

La Silicon Valley est connue comme le haut lieu de la création de startups du digital. C’est donc dans cet écosystème que les startups françaises sont venues échanger avec leurs homologues. Quelles sont les méthodes de travail ? Comment font-elles mouche lors de leur présentation ? Comment trouvent-t-elles leur business angel ? Autant de partages de pratique, de sources d’inspiration et d’opportunités de futurs échanges. « Ce voyage est une façon de les obliger à penser leur business dans une perspective d’internationalisation dès le début ou après cinq ans d’existence ! » explique Sébastien Cauwet, Directeur d’IMT Starter.

Nombreuses sont les startups installées dans la Silicon Valley, aux côtés des Apple, Facebook, Google et de grands centres d’enseignement et de recherche. Chaque projet français y rencontrera deux ou trois projets similaires au sien. Et pour cause : les investisseurs du numérique y sont légion à chercher la perle rare. Aussi, tous les créateurs s’y installent pour s’assurer d’y trouver un soutien financier.

« Nos startups ne viennent pas pour y faire des affaires, elles sont trop jeunes pour cela, mais pour comprendre comment en faire ; y compris l’état d’esprit qu’il faut avoir » précise Sébastien Cauwet. Si les ingénieurs « à la française » sont appréciés pour la qualité de leurs technologies, leurs homologues aux Etats-Unis le sont aussi pour l’exceptionnelle façon de les vendre, en pensant d’avantage au « besoin de l’utilisateur » qu’à la « technologie ». Durant cette semaine, les porteurs de projet d’entreprises ont donc également rencontré des investisseurs venus leur expliquer comment fonctionne le financement des créations d’entreprise là-bas. Des coachs les ont conseillés et incités à aborder leur projet sous un autre angle de vue et à utiliser d’autres méthodes de travail comme le design thinking.

Vous aussi vous souhaitez monter votre projet de création d’entreprise dans le digital ? Prenez contact avec IMT Starter sur www.imt-starter.fr et trouvez l’équipe qui vous accompagnera dans votre projet.

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