Ces écoles font de cette proximité avec les entreprises un élément-clef de leur pédagogie et de leur action de soutien au développement économique. Celle-ci s’évalue selon le nombre de diplômés à l’étranger, le salaire de sortie, la durée des stages en entreprise et le nombre d’étudiants en alternance.
Le journal l’Etudiant classe également 6 de ces écoles à la deuxième place des écoles « pour petits budgets », démontrant l’ouverture sociale des écoles de l’Institut Mines Télécom avec plus de 40 % de boursiers. Ces formations d’excellence conduisent aux meilleurs débouchés pour les étudiants, comme l’indique par exemple le classement à la première place des trois écoles Télécom pour les industries du numérique.
Ces résultats confortent le rôle fondamental pour le Redressement productif dans le paysage de l’enseignement supérieur français, des 10 écoles de l’Institut Mines Télécom qui forment les nouvelles générations, 12 000 étudiants, pour relever les défis industriels de la France.
Arnaud MONTEBOURG a demandé aux écoles des Mines et des Télécoms de renforcer encore leurs liens avec les entreprises industrielles des territoires, en faveur de l’emploi, de l’innovation et du redressement productif.
Regroupées au sein du Grand établissement d’enseignement supérieur Institut Mines Télécom, ces écoles couvrent l’ensemble du territoire : Mines Albi-Carmaux, Mines Alès, Mines Douai, Mines Nantes, Mines ParisTech, Mines Saint-Etienne, Télécom Bretagne, Télécom ParisTech, Télécom SudParis. L’Institut intègre également une école supérieure de gestion particulièrement performante, Télécom Ecole de Management. Au total près de 12 000 étudiants y suivent des études de haut niveau allant jusqu’au doctorat.